Comment faire la déclaration d’une micro-entreprise ?

Il est certain que l’entrepreneuriat attire de plus en plus de monde en France et ailleurs dans le monde. Cela peut être dû à la vague d’influenceurs inspirations et des coachs de vie et de développement personnel, ou peut être juste un éveil presque général : travailler pour soi-même est beaucoup mieux qu’un travail peu passionnant et usant. Le nombre de micro-entreprises a donc naturellement augmenté d’une manière vertigineuse.

Si, vous aussi, vous souhaitez vous lancer dans votre propre business, mais que le côté juridique n’est pas votre tasse de thé, cet article vous explique comment déclarer une micro-entreprise. Bonne lecture !

La déclaration d’une micro-entreprise : comment devenir micro-entrepreneur ?

La législation française a fait en sorte defaciliter, pour quiconque voulant devenir entrepreneur, la déclaration de sa micro-entreprise.

Qui peut devenir micro-entrepreneur ?

Tout le monde peut ouvrir une micro-entreprise. L’entreprise doit prendre la forme d’une entreprise individuelle. Cela veut dire que les possessions financières de la personne se confondent avec le capital de l’entreprise et que la personnalité morale de l’entreprise et la personnalité physique du propriétaire se mêlent ; ou alors, elle peut prendre la forme d’une entreprise individuelle à responsabilité limitée.

Cette entreprise doit cependant répondre à quelques conditions, comme celle relevant d’un montant maximum du chiffre d’affaires réalisé : pour les pratiquants de professions libérales et de prestations de services, le chiffre d’affaires ne doit pas excéder 70000 €, pour les autres, le chiffre d’affaires ne doit pas dépasser 170000 €.

Qui ne peut pas devenir micro-entrepreneur ?

Pour profiter du statut du micro-entrepreneur, en tant que commerçant,il ne faut pas être gérant d’une sociétésous une autre forme qu’une entreprise individuelle ou individuelle à responsabilité limitée.

La procédure à suivre

La procédure diffère selon deux différents cas, à savoir les commerçants et les artisans. Les commerçants doivent s’enregistrer au registre du commerce national. Les artisans doivent s’enregistrer au répertoire des artisans.

Ce type d’enregistrement entraîne des frais d’adhésion qui sont exonérés dans ce cas-là. Il suffit de remplir le formulaire CERFA n°15253*08, trouvable sur le site du gouvernement. Il doit être transmis au centre des formalités des entreprises.

Les avantages de la déclaration d’une micro-entreprise

Le régime de la micro-entreprise offre un nombre conséquent d’avantages à la personne et permet aux entrepreneurs individuels de bénéficier des plus suivants :

Une paperasse facilitée

Beaucoup d’entrepreneurs font machine arrière face à l’appréhension d’une montagne de paresse et de casse-tête administratif. La micro-entreprise jouit d’une législation allégée et de prorogatifs administratifs simplifiés.

Une fiscalité attrayante

Les micro-entrepreneurs peuvent choisir entre le régime d’imposition classique et le prélèvement libératoire, ce qui est d’une grande aide pour les débuts. Toujours dans le thème des taxes, concernant la TVA, une franchise de base est octroyée et la compatibilité dédiée est pensée d’une façon à l’alléger le plus possible.

Des charges sociales allégées

Les micro-entrepreneurs, maintenant patrons, doivent s’acquitter de charges sociales spécifiques. Celles-ci leur sont simplifiées par rapport à d’autres formes de sociétés.

S’ajoutent à cela d’autres facilitations, à savoir booster l’économie et favoriser la création de valeur. Le gouvernement octroie aussi des aides visant à aider les micro-entrepreneurs à mener à bien leurs projets.

Des aides financières

Entreprendre, c’est assez risqué. Ainsi, le cumul des revenus est possible, ce qui ne l’est pas sous d’autres formes de sociétés.

Les inconvénients de la déclaration d’une micro-entreprise

Les inconvénients des micro-entreprises sont :

  • Une limitation du chiffre d’affaires à respecter ;
  • L’effacement de la frontière entre le patrimoine personnel et le capital de l’entreprise ;
  • Des interactions avec d’autres agents économiques compliqués.